Voici un petit article dans lequel un Français se marie en Belgique (alors française) tandis que sa fille, née en Belgique, se marie en France, en 1830, avec un Anglais qui a combattu les Français à Waterloo !
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En partenariat avec Généanet , la rubrique Chroniques de nos ancêtres vous propose de découvrir des aspects variés, parfois insolites ou méconnus, de l’histoire et de la vie quotidienne de nos ancêtres à travers la présentation commentée de documents d’archives et de témoignages anciens, puisés dans toutes les régions et à toutes les époques.
Dernier ajout : le 20 novembre.
Voici un petit article dans lequel un Français se marie en Belgique (alors française) tandis que sa fille, née en Belgique, se marie en France, en 1830, avec un Anglais qui a combattu les Français à Waterloo !
Venue d’Angleterre, la mode du voyage de noces se répand en France à partir des années 1830 dans la bourgeoisie aisée. Ce sujet est un angle mort de la recherche historique. La raison en est simple : par définition privés, les récits qui en relatent étapes et impressions échappent à l’historien. Il y a certes des exemples à puiser dans la littérature et dans la presse. Mais leur prisme est déformant et surtout ils ne sont pas si nombreux au milieu du XIXe siècle. C’est pourquoi les « Souvenirs de deux mois de voyage » d’Henri et de Jenny Pélé sont d’un intérêt exceptionnel2. D’une belle écriture, ce marchand de vin en gros de Courville-sur-Eure3 a couché sur un album le menu des journées passées du 31 mai au 26 juillet 1853 avec sa jeune épouse.
4 mariages, 21 enfants. Sous l’ancien régime, l’air était vivifiant aux abords de la cathédrale de Quimper.
Ce qui est rapporté ci-dessous concerne principalement mon arrière-grand-père, enfant trouvé. Il y avait, à mon humble avis, deux façons d’aborder cette étude, en rappelant qu’au début des recherches, internet n’était pas en encore répandu : ce qui d’ailleurs en faisait le sel ! et l’intérêt. Découvertes de régions, etc.
Il nous est probablement arrivé à tous, devant une vieille demeure ou en la visitant, de nous dire : « Si les murs avaient des yeux et des oreilles, ils pourraient nous en raconter des choses... ». Nous allons donc imaginer les murs du moulin de Pothières, en Côte d’or, dotés de la vue, de l’ouïe et de la parole. Découvrons donc ce que ce moulin pourrait nous raconter sur son histoire.
la généalogie, peut consister pour certains à bâtir simplement une pyramide de noms, dont la pointe est posée sur sa tête, et que l’on remplit de dates, de noms de lieux et de métiers. Il faut juste veiller à ce que cette dernière ne s’enfle pas sous le poids que l’on voudrait donner aux personnages dits "importants" éventuellement rencontrés.
Lors de mes recherches sur les collatéraux de mon arbre, j’ai pu trouver quatre Frères venant des Ecoles Chrétiennes dans ma famille aussi bien paternelle que maternelle. C’est pourquoi, je m’y suis intéressée de plus près en contactant les Archives Lassaliennes afin d’y obtenir plus de précisions les concernant.
Après des milliers d’heures passées en compagnie de mes ancêtres, ils font tellement partie de moi-même qu’une question saugrenue me taraude l’esprit : quelle part de chacun d’eux survit encore en moi ? En d’autres termes, que reste-t-il de leurs gènes dans mon propre génome ? Je vous propose de faire le point sur ce thème.
Nous sommes dans les Pyrénées-Atlantiques, qui étaient encore Basses à cette époque. Joseph BARBE, châtreur de son métier, a eu 13 enfants de ses deux mariages : Bernard et Marie de Marie Anne BUSTANOBY, épousée en 1807, et Pierre, Marie-Anne, Jean-Pierre, Gracieuse ou Engrâce, André, Jean-Pierre, Marie Caroline, Philippe, Thérèse, Eléonore et Baptiste, de sa deuxième femme, Marie FITERE-IRIGOYEN, épousée en 1833, alors qu’il avait 47 ans et elle 23.
Ma grand-mère maternelle, Marie-Louise Doutard (1887-1952), a été la dernière représentante de l‘une des deux branches « Catalanes » de mon arbre. Ses grands-parents à elle, des Margail et des Delonca, ont vécu à Ille sur Têt et à Canet en Roussillon où de nombreuses familles portent aujourd’hui encore ces patronymes. C’est dans les archives de la mairie d’Ille, en fouillant méticuleusement, que j’ai découvert la retranscription de l’acte de décès en 1818 d’un Étienne Delonca, bouvier à Thuyr et mort à Montpellier à l’âge de 45 ans. Qu’était-il allé faire aussi loin de chez lui à l’époque où les paysans de son espèce ne se déplaçaient qu’à pied ?
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